la réunion prophétique Morgana n’avait jamais quitté sa forêt durant des lustres. Ses pas étaient habitués à fouler les tapis de mousse et les venues noueuses des arbres siècles. Pourtant, ce matin-là, elle se mit en avenues au pas de course. L’appel qu’elle avait lancement vers Merlin l’Enchanteur résonnait une nouvelle fois son Énergie. Elle ressentait une action exceptionnelle dans l’air, notamment si la nature elle-même la poussait à avancer. En longeant un sentier à examen tracé, elle songeait aux données qu’elle avait lus dans la fumée de son chaudron : un sobriquet résonnait, Arthur, et la photo d’une épée scintillait encore appelées à ses yeux. Le périodes n’était plus aux craintes, il fallait porter toutes les chances du côté de l’équilibre du pays. Si les prédictions ne mentaient pas, l’avenir dépendait de ce jeunes filles mystérieux, et seule l’alliance avec Merlin semble pouvoir révéler la vérité. Le soleil perçait via les cimes verdoyantes quand Morgana, pour finir, aperçut une silhouette drapée d’une longue cape grise. Merlin l’attendait près d’un vieux chêne, le visage grave et les tout jointes dans une façon de vous maintenir anti-stress. L’Enchanteur leva à course les yeux à l’approche de la sorcière, à savoir s’il savait déjà tout grâce à leur rendez-vous prochaine. — Tu as compté coûteuse en temps, dit-il d’une voix sereine. — Je ne pouvais pas abandonner sans un dernier regard sur mes intuitions, répondit Morgana. Les ténèbres rôdent et on doit opérer au plus vite. Merlin acquiesça. Lui de plus avait vu l’ombre qui gagnait du terrain dans les hautes sphères du bienfait. Les signaux de la cour rapportaient des rumeurs inquiétantes : le trône était vacant pendant la disparition du tyrannique, et des gentilhommes sans scrupules cherchaient à bénéficier de l’instabilité pour asseoir leur qui est à vous entitée. — Arthur devra sembler préparé, reprit Morgana. Il ne sait rien de son hérédité, ni de la à brûle-pourpoint qui l’attend. — Je m’en chargerai, fit Merlin, son regard perçant semblant considérer l’âme de la sorcière. Mais nous ne pouvons y tâter seuls. Le savoir détenu par Morgana et Merlin était grande, car ils maîtrisaient l’art de don lire le destin. Parmi leurs pécule figurait un recueil traditionnel surnommé Jolie Voyance, un ensemble d'articles cryptiques décrivant les opportunités prochaines. Ils disposaient également d’une science plus contemporaine, une vision que certains qualifiaient de prodige : la voyance gratuite en ligne. Bien sûr, à l’époque féodale, cette dissertation n’était pas interprétée comme elle le serait dans des temps modernes, mais renvoyait pas trop à un usage démesuré où les esprits de la planète pouvaient sembler consultés sans contre-essai matérielle. — Puisse la destinée nous être favorable, murmura Merlin. Ainsi commencèrent leurs préparatifs. Ils s’accordèrent pour quitter de compagnie à la cosmopolitisme du jeune Arthur. Morgana attacha le miette de bagages qu’elle possédait sur le doublure d’une préhistorique mule, tandis que Merlin, s’appuyant sur son épieu noueux, ouvrait la point. Pendant des évènements, ils traversèrent clairières et vallons, croisant parfois des villageois intrigués par la présence de deux personnages également distincts. Certains reconnaissaient la formes de Merlin ou la longue chevelure black de Morgana et se signaient pour bannir le sort, illuminé que leur coulant regard pouvait stimuler la malédiction ou la défense. Le duo profitait de chaque immobile pour visser le ciel, consulter les astres et vérifier leurs calculs prémonitoires. Ils utilisaient un planète en verre taillé, spéciale vestige d’une civilisation oubliée, pour enthousiasmer les fluctuations du destin et s’orienter. Parfois, la brume dans le orbe formait une représentation précise d’un château en ruines ou d’un champ de bataille. D’autres fois, les volutes se dispersaient dans un tourbillon de néant, signe que l’avenir restait réceptif. En chemin, ils entendirent des rumeurs sur un inexpert écuyer habile, adopté par un agréable sans descendance. Les habitants du hameau voisin racontaient qu’il se nommait Arthur. Il se disait courtois, doué au utilisation de l’épée, mais ignorant de sa génèse. Cet relation était à l'infini propre pour n’être qu’une coïncidence. Merlin et Morgana gagnèrent la demeure du suave protecteur du garçon. Sur sa place, on les reçut d’abord avec suspicion, craignant l’influence trappe de leurs savoir faire. Mais la réputation de l’Enchanteur finit par réconforter, et ils furent conduits jusqu’au inexpérimenté écuyer. Arthur, en repérant Morgana, voyance en ligne gratuite sentit un frisson assommer son échine. Quelque chose en lui se réveillait, en tant qu' un appel lointain du sang royal qui coulait dans ses veines. Les premiers instants avec leur rassemblement furent empreints de obligeance et de suspicion. Arthur ne comprenait pas cause ces deux êtres, craints dans tout le gouvernement, venaient s’adresser à lui. Pourtant, au fond de ses yeux brillait une étincelle : celle du courage, spécifique à ce que sont qui a pour destin à accoster l’épée du présent. — Tu es un élu, annonça Morgana, sa voix chargée d’émotion. Ton futur est plus large que tu ne l’imagines. — Nous sommes là pour te mentors, ajouta Merlin, un sourire doux aux lèvres. Arthur ne répondit pas, submergé par l’intensité de la période. Les piliers de la magie l’avaient choisi, et son personnage dans le futur du empire allait bientôt se détacher ses buts les plus importants.